Jeshua c'est l'incarnation de l'énergie du coeur, à travers l'expérience humaine.
Loin des interprétations religieuses et des dogmes, c'est une invitation à la compassion et une multitude d'enseignements précieux pour notre quotidien. Quel est ton ressenti sur tout ça? As-tu été éduqué-e avec une religion ou pas? Et quel impact cela a eu sur toi? Comment utiliser cela à ton avantage aujourd'hui? Personnellement j'ai eu des parents athées, cartésiens, qui s'étaient rebellés contre leur éducation catholique. Ils ont refusé de se marier à l'église et n'ont pas voulu baptiser leurs enfants, au grand dam des grands-parents... Pour adoucir les choses, on m'a quand même donné un parrain et une marraine et fait passer à l'église pour une "présentation" grâce à un prêtre très très ouvert d'esprit pour les années 80! A l'adolescence cependant, je pratiquais l'orgue électronique depuis des années et j'étais fascinée par les orgues d'église. Alors direction le conservatoire pour apprendre à en jouer. Comme j'avais besoin de pratiquer, j'ai eu le droit d'avoir les clés de la cathédrale de la ville la plus proche... mais en échange je devais remplacer quelqu'un à la messe des villages environnants le dimanche... Sans avis sur la question, moi je voulais juste jouer de la musique. Mais je peux imaginer que mes parents devaient par forcément voir ça du bon oeil... Cependant ils m'ont laissé faire car pour eux le plus important c'était que je me sente libre de vivre ce qui était important pour moi, peu importe que mes croyances soient les mêmes qu'eux ou pas... Merci de ne pas avoir reproduit le chemin des ancêtres qui t'imposent leur vision! Ce qui est drôle, c'est que je n'avais pas d'avis tranché sur la question. Il y avait des passages de la bible que je trouvais pertinents, d'autres complètement débiles et patriarchaux! En 2008 quand j'ai commencé à apprendre la méditation, je me souviens d'un stage intensif d'ouverture du 3ème oeil pendant lequel on se connectait à nos guides et j'ai senti "Dieu" me parler. J'ai été très surprise... et c'est là que j'ai découvert "Conversations avec Dieu", de Neale Donald Walsch, un livre qui a changé ma vie et que je te recommande. En 2020 pendant les mois Covid, Marie-Madeleine est souvent venue à moi en canalisation pour m'amener du réconfort, de la douceur et de la compassion. Jeshua n'était jamais là et parfois je l'ai senti dans le train, en balade, au réveil, etc. En 2021 je suis retournée à Vézelay, voir mon amie Sophie. Nous avons assisté à une messe et à la lecture de certains textes j'avais envie de vomir, et d'autres m'ont connectée à une énergie tellement forte que j'y ai posé des larmes de souffrance. Aujourd'hui je sais et je sens que la religion et les interprétations de la bible sont souvent en décalage avec la conscience du coeur et l'énergie incarnée par Jeshua et Marie-Madeleine. L'humain a cette capacité incroyable de mettre son égo partout pour transformer les choses. A nous de faire la part des choses. Je ne me considère vraiment pas comme quelqu'un de religieux. Par contre spirituelle. à fond. Et peu importe finalement. L'invitation de Jeshua est simple, revenir dans le coeur. Son énergie est tellement apaisante et nous en avons vraiment besoin. Il propose de sortir des dogmes et cela me correspond à 100%. Si ça te parle aussi, alors rejoins mon invitation à prendre 30 minutes par jour pour toi, avec cette vibration d'amour, pour recevoir des enseignements qui changeront ta manière de naviguer cette expérience pour la vivre avec plus de paix! Le chemin intérieur de la compassion avant tout! Retrouver et incarner la conscience du coeur. Nous sommes à un tournant sur la planète, chacun-e de nous, en se reliant à cette énergie, peut avoir un impact favorable. Notre état d'esprit a bien plus d'impact que ce que nous imaginons. Compassion Pour soi, pour son expérience humaine, ses émotions, ses pensées, son corps, sa vie. Pour les autres êtres vivants, pour la planète. Et plein d'autres choses à intégrer, entre autres (le programme s'ajustera à ce que Jeshua nous communiquera sur le moment en fonction des besoins du groupe): -naviguer les dimensions -sortir de sa prison intérieure, reconnaître ses ombres et y amener la lumière -se détacher des peurs et des doutes, des blessures de l'égo terrestre, activer la confiance et la sécurité intérieure -activer l'amour, la foi, l'espoir, le respect, la paix -se relier à la Source de création, de souveraineté -dépasser l'égo et les injonctions extérieures -devenir son propre maître -trouver l'équilibre entre la demande et l'action -laisser aller l'armure autour du coeur pour se rouvrir à sa sensibilité comme une force -sortir des schémas d'auto-destruction -oser l'inconnu -choisir la posture d'humilité -pratiquer le non-jugement -nourrir ses besoins, se remplir et donner sans attente -activer l'énergie de l'enfant curieux, spontané, et en soif d'apprentissage -réapprendre l'authenticité, sortir des mensonges et de l'illusion -se rappeler que nous sommes des consciences divines pour mieux naviguer les moments difficiles -créer des partenariats divins en harmonisant notre féminin et notre masculin sacrés Toutes les infos ici
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L'année démarre forte en vibration et énergies ! Une vague d’ouverture aux miracles, à la magie et à l’abondance.. En tout cas c'est ce que je sens… déjà depuis mi-décembre… Si… on s'autorise à tout ressentir, … c’est à dire accepter ce qui vient et part, on danse avec la vie et tout devient fluide… l'abondance apparait… dans tous les domaines. Pour cela il est important de se mettre à l’écoute de soi, de la vie, des signes, dans un état de réceptivité et de faire confiance à ce flow naturel. S’abandonner à ce qui est. Si tu as déjà bien bossé sur toi, c'est le moment où tout est en train de s'intégrer et si tu t'autorises enfin pleinement à tout ressentir, tu entres dans le flow de la vie, comme la nature. C'est que j'ai compris en 2022 et j'ai été déjà bien testée même si l’année ne fait que commencer. C’est aller voir dedans, s'asseoir avec, laisser les joies et les peines coexister sans juger, sans chercher à réparer, juste en se laissant traverser. Tu sais faire? Pas toujours évident, car on a souvent appris le contraire... et pourtant... Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de difficultés, mais qu’elles coulent, qu’elles font partie de la vie et qu’elles peuvent co-exister avec le reste, si on ne lutte, pas si on ne résiste pas, qu’on laisse faire. La petite anecdote qui démontre cela… Je suis partie en vadrouille pendant ces fêtes. Le 3 janvier j’arrive en Bretagne, une Terre remplie d’émotions pour moi. Beaucoup de beaux souvenirs, beaucoup d’éléments qui nettoient et déboussolent aussi. Je me réjouis et en même temps j’appréhende. Je suis très fatiguée par le voyage, et un peu perdue pour trouver mon logement, si bien que… je rentre doucement mais sûrement dans un mur avec ma voiture… Super, ça commence bien 2023… Tout dépend comment j’accueille cet incident… Déjà rien de cassé chez moi… c’est juste de la ferraille. Car au final, ce n’est que du matériel et je m’en fous… Oui enfin peut-être que la leçon 1 c’est d’arrêter de s’en foutre du matériel ? Peut-être… je prends. Qu’est-ce que je vais faire avec la montée des émotions… ? D’abord accueillir, accueillir la panique, le désarroi, et surtout la honte. La honte en tout cas elle monte bien… ohlalala … avec cette grosse voix méchante qui me dit : « mais c’est fou quand même, t’es vraiment trop nulle, trop stupide, trop pas présente, tu sais pas conduire, t’as pas senti que t’étais fatiguée… etc. » Cette voix jugeante, saboteuse à fond les ballons… Mélanger à cela l’épuisement, ça fait une belle vague... "Bon je vais quand même pas me gâcher mon séjour… oui mais si j’applique ce que je prêche, je vais pas aller me distraire, je vais plonger dedans." Et là en observant ça, j’ai un méga déclic… c’est la même réaction épidermique de mal-être que j’ai subie/vécue en novembre; celle que j’ai essayé d’entendre, de ressentir, de comprendre, d’interpréter… je l’ai pris sous tous les angles : moi, le collectif, le temps pourri, les énergies, les attaques, mes ombres sur les plans de cette vie et d’autres etc. Et oui il y avait certainement plein de couches mais j’avais comme un goût de « pas compris »… « pas encore percé le mystère… » Et là le déclic c’est que c’est cette putain de honte ! Il y a une version de moi qui ne sait pas s’autoriser d’être maladroite, de faire des erreurs, de se tromper, qui est tellement exigeante qu’elle ne se pardonne pas. Et la voix par-dessus encore plus jugeante c’est celle qui dit « en plus, encore… avec tout le travail que tu as fait sur toi ! » Ouch, j’ai mis le doigt sur un truc. C’est violent. Je te le partage pour te rappeler mon humanité et la tienne. C’est pas parce qu’on avance qu’on a fini. Et surtout c’est parce que je passe par ces étapes que je peux avoir de l’empathie et de la compassion, pour moi et pour toi. Je te recommande vraiment de fuir tout enseignant /guide spirituel qui dit avoir tout compris et être que dans la lumière… parce que c’est pas là-dedans qu’on apprend le plus et qu’on peut aider le plus. Cela m’a d’ailleurs inspiré la thématique du prochain soin quantique, la puissance du pardon envers soi-même, les infos sont ici Donc pour finir mon histoire : Je continue d’observer et d’accueillir bien sûr cette autre voix, plus douce, plus aimante, celle de l’âme qui dit : « ah enfin ! tu vas t’aimer alors ? tu vas aimer aussi cette version de toi qui a des mémoires de honte tellement fortes qu’elle a juste envie de te faire disparaître, de rester au lit, voire de mourir ? tu vas l’accueillir ? tu vas la soutenir ? tu vas lui donner de la compassion. Et tu vas lui pardonner…, oui ? » Et ben du coup ça a duré 24h, super rapide pour moi ! et après c’était le flow total. Un truc de ouf ! Tout ça aussi pour te rappeler que les chocs émotionnels ça vient d’un coup, mais ça ne vient pas que d’un coup. Ça peut avoir l’air tout petit et cacher un éléphant ! Ça vient taper sur des mémoires d’autres événements, de cette vie ou d’autres, dont on n’a pas toujours conscience et ça peut vraiment fatiguer…. Et que la clé du ressentir elle est là. La fatigue et la honte ne restent pas si tu accueilles vraiment, que tu regardes et écoutes la voix qui braille au lieu d’aller dormir, manger, faire du sport ou de te distraire par quelque moyen que ce soit. Parce qu’elle va te hanter, elle va te bloquer et elle va revenir plus forte, plus bruyante… Alors que si tu l’écoutes elle va finir par te laisse tranquille et la vie continue, la danse continue, les miracles et la magie, la beauté, se dressent à côté voir en même temps que l’enfer et l’horreur… C’est ça la vie. Le mouvement constant. On te parle aussi de ça avec Sophie Lainé, l’autrice de plusieurs recueils dont le dernier « Entre deux drames, un petit café » La vidéo est ici Le lien pour acheter son livre, la soutenir et profiter de contributions uniques, uniquement jusqu'au 14 janvier! Et toi comment as-tu démarré ton année? Besoin de soutien? Appel découverte gratuit ici pour faire le point Belle semaine Sylvie Notre monde a été bouleversé en 2020. Nous l’avons vécu différemment selon notre lieu de résidence, notre situation socio-économique, notre culture, notre éducation, notre rapport à la maladie et à la mort, et donc principalement selon notre vision de nous-mêmes et du monde. Nous avons tous et toutes évolué intérieurement, certains de manière plus consciente que d’autres. Nous nous sommes parfois questionnés sur le sens de nos vies, notre rapport au travail, à la consommation, notre lien à la nature et sur -je l’espère- plein d’autres choses. Certains ont utilisé ce questionnement pour entrer dans une transition personnelle ou professionnelle et redonné du sens à leur vie, d’autres ont au contraire perdu toute notion de sens. Ce qui est certain c’est que nous avons tous et toutes une forme de traumatisme. Le traumatisme n’est pas forcément, comme on a tendance à le croire, un grand choc ; il peut l’être mais il peut aussi être un stress accumulé sur une longue durée. S’il n’est pas accueilli et reconnu correctement, sur tous les niveaux, le traumatisme ne peut pas être libéré et il crée une empreinte dans le corps ; nous risquons alors de réagir à des petites situations de stress de manière exacerbée. Nous rentrons peu à peu dans un cercle vicieux et plus nous restons dedans, plus il est difficile d’en sortir. Nous sommes de plus en plus fatigués, irritables, anxieux, voire désespérés ; nous avons du mal à trouver de la joie et du plaisir et à avancer. Il est donc primordial aujourd’hui de reconnaître l’ampleur du traumatisme et d’y apporter de la compassion et de l’amour. Cultiver la joie devient aussi une véritable discipline pour rester sain. Prendre soin de soi n’est plus une option, c’est une nécessité. Bien entendu, nous avons des choix à faire, des décisions à prendre pour la suite. J’ai une grande nouvelle : dans cette situation, il n’y a pas de bon ou de mauvais choix. Il y a juste le choix qui est juste pour soi, dans cette expérience humaine, pour son âme. Elle vivra ce qu’elle est venue vivre ; oui le choix que nous ferons aura des conséquences, qui nous feront vivre une expérience, et que nous devrons assumer. L’avenir n’est pas tracé, c’est à nous de le construire avec notre libre-arbitre. Au milieu de la confusion générale, nous pouvons constater depuis des mois une énergie destructrice : une agressivité ambiante, des jeux de polarisation extrême, qui nous font croire que tout est soit noir soit blanc, soit bien soit mal, qu’il y aurait des gens qui ont raison et des gens qui ont tort. Ces discussions sont soit évitées, soit exacerbées, sur les réseaux sociaux, mais aussi avec nos amis, notre famille. Nos mécanismes de défense font souvent que les discussions tournent à la colère ou à l’incompréhension. Pour moi le seul véritable choix à faire c’est de s’élever pour sortir de ça : arrêtons de jouer le jeu de la division et de la guerre qui se joue et rejoue depuis la nuit des temps, sous différentes formes. Oui, je sais, ce n’est pas évident. Moi-même je tombe parfois dans le jeu de l’opposition. C’est un travail de fond de conscientiser cela pour déjouer ce programme. Nous ne pouvons que choisir pour nous-mêmes, et laisser les autres faire la même chose, en respectant leur chemin, même si nous ne le comprenons pas ou ne sommes pas d’accord. Même en étant très empathique, nous ne pouvons pas savoir exactement comment l’autre a vécu son parcours jusqu’ici, ses émotions, ses batailles, ses pensées, ses peines, ses croyances qui font de lui qui il est. Il n’y a que lui qui sait, de la même manière qu’il n’y a que toi qui sais ce que toi tu as vécu et ce en quoi tu crois. Tomber dans le panneau qui vise à traiter l’autre de peureux, de mouton, de manipulateur, ou de complotiste, d’irresponsable, de criminel ne fait pas avancer les choses. Dire aux autres ce qu’ils doivent faire ne fait pas avancer les choses. La seule chose que l’on puisse faire c’est s’écouter et écouter l’autre, en le laissant être ce qu’il est et en l’invitant à nous traiter de la même manière. Prenons comme exemple le vaccin : que tu aies choisi ou non de te faire vacciner, ou que tu n’aies pas encore décidé, c’est complètement ok. Tu as fait ou feras ce choix en fonction de ton chemin de vie, ta vision du monde, de tes lectures, de la santé, de la maladie, de la mort, et de tes circonstances personnelles. C’est ton droit. Ce qui est important de se poser comme question pour ça ou pour les prochaines décisions c’est : Est-ce que je fais ce choix librement et en conscience, et est-ce que j’assume mon choix, au-delà du regard des autres, au-delà de la peur d’être jugé ou critiqué ? Et est-ce que je peux inviter les autres à faire de même ? Si je commence à dire à l’autre quoi faire, je le prive de son droit à l’auto-détermination. Inverse les rôles deux secondes et mets-toi à sa place. Si à toi on te disait ce que tu dois faire, pour ça ou autre chose, comment te sentirais-tu ? Alors oui tu vas peut-être me répondre qu’il y a des gens qui préfèrent qu’on leur dise quoi faire, qui préfèrent remettre la responsabilité à autrui. C’est ok, encore une fois, c’est leur chemin. Laissons-les être et vivons le nôtre. Nous ne pouvons pas imposer notre vision du monde, nous ne pouvons que la partager, et inviter l’autre à la respecter même s’il ne peut pas la comprendre. Elevons-nous, choisissons la compassion pour nous-mêmes et la compassion pour les autres. Si tu ne sais pas comment amener la compassion dans ta vie, d’abord pour toi-même, c'est le thème de la dernière pratique guidée en ligne ici Abonne-toi à ma newsletter pour suivre toutes les infos. 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AuTEURJe laisse ici mes pensées, ce qui me traverse. L'écriture me permet d'accueillir et de libérer ce qui je sens en moi et autour de moi. Si dans le processus, cela peut aider autrui, c'est encore mieux :-) Archives
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