Aujourd'hui j'aimerais attirer ton attention sur le mal-être des enfants.
Que tu sois parent ou pas… car ce mal-être est un appel au secours qui nous montre l’état de notre monde, et nous invite aussi à le voir chez nous et chez les autres adultes. De plus en plus de victimes de harcèlement à l’école, de plus en plus de « TDAH » et autres étiquettes, d'autres démontrant des soucis de colère exacerbée, de la violence, d'autres encore angoissés ou en dépression. Il y a les chiffres officiels et il y a tous les autres dont on ne parlent pas pas car ils s’adaptent et gardent tout à l’intérieur ; il nous appartient d’aider les enfants, soit en les accompagnant, soit en aidant leurs parents, soit en travaillant sur soi-même. Tu peux commencer par te remémorer ton enfance ; as-tu des souvenirs, bons ou mauvais ? Parfois on souffre d’amnésie traumatique… donc si tu n’as pas de souvenir du tout je t’invite à explorer ça avec un professionnel, car cela cache quelque chose. Dans tous les cas, tout ce qui se passe dans notre enfance a un impact sur notre vie d’adulte : notre manière de voir le monde, nos mécanismes de survie, de protection, nos relations, notre niveau d’estime de nous, nos rêves, etc. Je suis née en 1978 ; hypersensible, j’ai eu des visions très jeune (je voyais mes guides et des personnes décédées), et j’étais une éponge émotionnelle. Mon mécanisme de survie à moi, a été de m’adapter : m’adapter à une famille cartésienne, à une société où l’hypersensibilité était perçue comme une faiblesse, et les visions comme de la folie. Je n’arrivais pas à exprimer mes émotions car on ne m’avait pas enseigné comment faire. Et quand ça débordait, c’était la colère qui jaillissait. Derrière il y avait quoi ? Une énorme tristesse et une grosse anxiété. C’est ce qui amène toute mon empathie pour les enfants en souffrance. Je suis passée par là et notre monde dans les années 1980 était beaucoup moins angoissant et complexe que celui d’aujourd’hui… J’ai fait des crises d’asthme très tôt (j’étouffais), des terreurs nocturnes (angoisses existentielles), j’ai eu de gros soucis aux genoux (mal dans mes relations) et au dos (l’impression d’être seule, sans soutien), puis des angines à répétition (chakra de la gorge bloqué) jusqu’à mes 15 ans; ensuite j’ai enchaîné les épisodes dépressifs , les crises d’angoisse jusqu’à toucher le fond à mes 29 ans (état dissocié). Pour mieux rebondir certes… mais… cela m’a pris longtemps pour avoir confiance en moi, apprendre à m’aimer, me connaître, redevenir moi, m’écouter, mettre mes limites, etc. Tout ça pour te donner un exemple et comparer avec ce qui se passe aujourd’hui pour les enfants. Plus on prend le taureau par les cornes maintenant, moins nous aurons d’adultes en souffrance plus tard. Avec toute la peur qu’on nous balance, les enfants sont terrorisés. Même s’ils ne regardent pas les actus… les énergies et les égrégores les touchent ! Nous sommes stressés, nous courons tout le temps, nous jouons le jeu de ce monde malade ; nous leur donnons un terrible exemple ; que nous soyons parents ou non, nous avons tous une influence sur les petits ! Il est important de se reconnecter à la légèreté, au rêve, au jeu et de leur donner de l’espoir, de leur montrer l’exemple ; on peut aussi partager sa journée, sa souffrance (ils la sentent de toute façon), leur montrer que c’est ok d’exprimer ce qui va mal, et de leur montrer les clés, en prenant soin de soi pour aller mieux ou en demandant de l’aide, en cherchant des solutions. Il faut que nous soyons une inspiration à tous les niveaux. Nous avons une responsabilité ! Certains enfants s’adaptent, se renferment, n’expriment pas leur souffrance, leurs frustrations et tombent malades car ils intériorisent. Questionne-toi si ton enfant tombe souvent malade. Certains ne s’adaptent pas, se mettent en colère, font des « crises », deviennent « méchants ». Ils ne sont pas méchants, ils n’ont juste pas l’espace approprié pour faire sortir ce qui se passe à l’intérieur. Ce sont des signes forts pour nous dire que quelque chose ne va pas. A nous de les aiguiller et de les accompagner. Chez les adultes c’est la même chose : -le collègue, l’ami ou le conjoint qui est effacé, qui dit oui à tout, qui est dans la perfection, c’est celui qui est en train de construire le terrain de son burn-out ou de son cancer. -le collègue, l’ami ou le conjoint qui vomit son mal-être sur l’autre, c’est aussi un être en souffrance. Voilà où nous en sommes. Pour moi ce n’est pas l’enfant qui doit changer mais l’école et l’environnement. Il est important de lui apporter un lieu où il peut être lui-même. Avec ses parents oui c’est déjà super évidemment si on peut offrir l'espace et l'écoute adéquats. Mais souvent cela sort mal et au "mauvais" moment. Le parent sert de punching-ball et selon son état à lui cela peut être très lourd et dur à gérer; c'est tout le monde qui souffre... Se faire accompagner est important. Un psy c’est bien, une activité d’art-thérapie, ou de mouvement somatique, ou quelque chose avec les animaux et la nature, apportera une guérison plus grande. C’est pareil pour les adultes ; c’est dangereux de s’adapter à une société folle, Il nous appartient de dire stop, de dire non. Travailler sur soi ça peut être aussi pour mettre ses limites aussi et montrer l’exemple. Arrêter d’accepter l’inacceptable. Tout ça n’est pas normal. 2024 je l’ai déjà dit c’est l’année du « stop, ça suffit ». Ça devient urgent, c’est maintenant le moment de bascule, à nous de jouer. Trop de gens galèrent, Trop d’enfants galèrent, A nous d’être là. Arrêtons de nous jeter de la merde, ouvrons nos cœurs, soyons gentils, soyons vrais, entraidons-nous. Offrons un autre modèle sociétal. Je te soutiens volontiers sur ce chemin pour travailler sur toi ou avec ton enfant. Pour toi c’est ici Pour ton enfant c’est ici
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Cette semaine j’ai envie de pousser un coup de gueule. C’est rare mais ça m’arrive. C’est inspiré de ce que je vois autour de moi, et aussi de ce que certaines personnes que j’accompagne ont vécu en termes de « suivi thérapeutique ». Nous avons tous et toutes des phases où nous nous sentons « victimes » : victime de notre gouvernement, victime de notre boss, victime de notre conjoint, de nos parents, du changement climatique, etc. C’est ok de passer par cette phase. On prend le temps de regarder où ça fait mal et ce qui fait si mal. Souvent ce qu’on voit n’est que la partie visible de l’iceberg et dessous il y a des mémoires bien plus profondes. Ça vient appuyer sur des boutons. Le tout c’est de ne pas rester coincé dans cette phase. Tu es un être énergétique illimité. Seulement depuis ta tendre enfance on te bassine que tu es limité, dans un corps physique et que non « on ne peut pas tout avoir », que « l’argent ne tombe pas des arbres », « qu’il faut souffrir pour être belle », qu'il y a plein de raisons d'avoir peur et je ne sais quelle autre connerie encore… Quand tu valides ça intérieurement, tu valides le monde que tu crées. Et après tu te sens victime. Alors que tu as fait un choix. Peut-être un choix inconscient mais si tu es sur un chemin d’évolution, aujourd’hui tu n’as plus d’excuses. Tu peux sortir de ta relation toxique, tu peux quitter ton job pourri, tu peux vivre là où tu as envie, tu peux réaliser tous tes rêves. Non tu n’es pas venu-e ici pour souffrir et valider ce que les autres pensent de toi ou te racontent sur ce que c’est la vie. Tu es ici pour créer ce que tu souhaites et ce qui marche pour toi. L’autre chose importante, et là je parle de ma posture de « mentor », il n’y a que toi qui sais ce qui est juste pour toi. Il n’y a que toi qui sais si tu as besoin d’une séance de yoga, d’un cours de danse ou d’une méditation, ou encore d’un tour à vélo ou de débrancher ton cerveau devant une série télé. Il n’y aussi que toi qui peux décider si tu te juges ou si tu t’encourages et si tu es impacté.e par l’opinion des autres ou pas. Il est important que tu expérimentes et testes les conseils. Peut-être qu’un outil fonctionne à merveille pour quelqu’un d’autre mais pas pour toi, et vice-versa. Peut-être qu’un outil fonctionne bien pour un thème particulier mais pas pour un autre. La seule personne qui peut savoir, c’est toi, en essayant. Ensuite, arrête de vouloir te guérir. Tu es déjà déjà guéri.e. Tu es parfait.e. Tu peux juste amener à la conscience les choses pour les accueillir et en faire quelque chose d’autres que d’en rester victime. Il est donc très important de t’autoriser à tout ressentir, et à rester avec. C’est ça la clé. Tu peux recevoir une séance de Reiki pour enlever un peu de stress et mieux dormir, mais si tu ne vas pas voir la cause du problème, ça reviendra. Tu peux faire une séance de régression de vie antérieure pour connaître l’histoire de ton âme, mais si tu n’en fais rien après, si tu ne choisis pas de changer ton contrat karmique, alors ça ne changera rien. Tu peux te faire aider, soutenir, accompagner, je ne peux que t’encourager à cela, car on va plus vite et on conscientise plus de choses avec quelqu’un qui nous aide à sortir la tête du guidon. MAIS s’il te plait, éloigne toi des gens (y compris les thérapeutes) qui prétendent détenir la vérité, et savoir ce qui est bon pour toi. C’est toi, ton corps, ton âme qui avez les clés. Personne d’autre. Je te donne un exemple très concret : si ton coach ou thérapeute te dit : "Ne va pas voir quelqu’un d’’autre que moi , il ne faut pas mélanger les approches." Je t’invite à te poser avec "toi-m'aime" et à sentir ce qui est juste pour toi. Peut-être que pour toi c’est mieux de faire une approche à la fois, mais peut-être que tu sens que ce serait mieux d’en avoir 2 ou 3… Voici 4 questions que tu peux te poser au quotidien quand ça merdouille : Qu’est-ce que c’est ? Qu’est- que je peux en faire ? Est-ce que je peux le changer ? Si oui, comment je peux le changer ? Si non, comment je peux accepter cela ? S’ouvrir aux vérités des autres, c’est bien. Accepter l’incertitude c’est top. Admettre de ne pas savoir ce qui fonctionne pour autrui c'est la base! Choisir ce qui marche pour soi, depuis soi, c’est encore mieux. C’est ce que je transmets dans tout ce que je propose. Si un thérapeute crée une dépendance avec toi et te demande de revenir revenir, etc. Fuis ! Va-t-en ! Un thérapeute est un être humain, qui peut avoir une longueur d’avance sur toi et t’enseigner des trucs utiles, mais ça reste un humain avec ses blessures, ses mal-être, s’il ne bosse pas sur lui, à un moment ça va se sentir. Et oui j'ai bien conscience que mon texte est bourré d'injonctions! LOL c'est ironique, n'est-ce pas? Peut-être que tu as besoin de remettre ton pouvoir à autrui en ce moment parce que c'est le seul moyen de garder la tête hors de l'eau? Encore une fois , c'est toi qui sais! :-) Ne prends pas pour argent comptant ce que je raconte, teste! Que penses-tu de tout ça ? Et si besoin d'aide pour apprendre à devenir plus autonome et oser être vraiment qui tu as envie d'être, sans limites, viens, on en discute. Bonjour!
Cette semaine je te parle de comment ton âme t’amène à sortir de ta zone de confort pour te donner ce dont tu as besoin. On dit bien que la magie se trouve au-delà des peurs ; je le sais je l’ai déjà vécu, et je le prêche ET je sais aussi que ce n’est pas toujours évident. Cela demande du courage. ↪️ Je te raconte ma retraite sauvage et de ma quête de vision, de mon inconfort total et du saut quantique que j’ai vécu. ✅As-tu déjà fait quelque chose parce que ça se présentait sans connaître les enjeux? ✅ Sens-tu ce que ton âme t’appelle à vivre en ce moment? Peux-tu lui faire confiance? ✅ A quels moments oses-tu vraiment sortir de ta zone de confort? 👉🏻 Dis-moi en par email :-) La semaine passée, je suis donc partie en retraite sauvage : j’ai pu expérimenter plein de pratiques qui amènent à un état de conscience modifiée et la connexion à la médecine vibratoire des plantes, de manière très profonde. Pendant toute la durée du stage, une diète uniquement végétale et principalement avec la plante qui t’a choisie pour travailler. Il y avait parfois des pratiques que je trouvais très difficiles, mais j’ai reçu ce message : Fais confiance, tu es invitée à explorer l’inconnu et à profiter de ce qui est offert. Alors j’ai lâché. Et j’ai saisi toutes les opportunités. Après 2 jours de préparation en groupe, me voilà 3 jours et 3 nuits en quête de vision, une immersion seule en nature, sans aucune distraction (même pas un livre... ) Pas le droit de sortir de son petit espace sacré. Présence obligatoire, connexion totale à l’inconfort, pas d’échappatoire, face à soi, avec les éléments et la médecine des plantes qui viennent te montrer tes ombres, te faire bosser à fond. En avril j’ai fait un jeûne, mais je n’avais pas en même temps travaillé sur moi et mes émotions. J’ai « juste » nettoyé mon système. Dans un confort total, avec une belle préparation, ce que je pensais allait être un gros challenge est passé comme une lettre à la poste et m’a fait le plus grand bien. Je ne savais pas que c’était une étape préparatoire à la suite. La semaine passée, j’ai vraiment souffert de la faim. Je m’étais préparée mais le fait est que j’ai une relation compliquée avec la nourriture, qui est très émotionnelle : elle vient me distraire, me réconforter, m’aider à fuir en quelque sorte. Là, pas moyen. La faim faisait partie du jeu. Ce n’était pas agréable. Mais j’ai été poussée et portée par quelque chose de plus grand que moi, l’énergie du cœur, et même dans les moments de doutes, d’énervement, de tristesse, il y avait cette énergie qui disait : ça va aller, ça nettoie bien, quelque chose est en train de s’ouvrir. Honnêtement si j’avais su que cela allait être si dur, que j’allais devoir travailler si profondément mes points de douleurs comme la honte, le manque de confiance en moi dans les relations amoureuses, ou encore les doutes sur quelle suite donner à ma pratique professionnelle, je n’y serai pas allée. Mais je n'ai aucun regret d'avoir vécu cela, bien au contraire! Cette retraite est venue à moi, et cette année je suis dans un état de connexion à mon âme qui fait que je lui fais 100% confiance pour me donner ce dont j’ai besoin, et pas forcément ce dont j’ai envie. Car elle sait mieux que moi. C’est la fameuse intelligence de vie dont je te parlais il y a deux semaines. Et le résultat est là. Je me sens encore plus connectée au monde subtil, encore plus en lien avec la nature et mes capacités de médiumnité, encore plus sur mon chemin. Je ne sais pas encore de quoi la suite sera faite, mais elle se profile magnifiquement. Et toi, où t’emmène ton âme ? Qu'est-ce qu'elle essaie de te montrer? Fais-moi un retour par email pour me dire comment ça se passe! Et si tu as besoin de soutien, réserve ton appel découverte gratuit avec moi pour commencer. Belle semaine à toi! Sylvie |
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AuTEURJe laisse ici mes pensées, ce qui me traverse. L'écriture me permet d'accueillir et de libérer ce qui je sens en moi et autour de moi. Si dans le processus, cela peut aider autrui, c'est encore mieux :-) Archives
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