Cette semaine j’ai envie de pousser un coup de gueule. C’est rare mais ça m’arrive. C’est inspiré de ce que je vois autour de moi, et aussi de ce que certaines personnes que j’accompagne ont vécu en termes de « suivi thérapeutique ». Nous avons tous et toutes des phases où nous nous sentons « victimes » : victime de notre gouvernement, victime de notre boss, victime de notre conjoint, de nos parents, du changement climatique, etc. C’est ok de passer par cette phase. On prend le temps de regarder où ça fait mal et ce qui fait si mal. Souvent ce qu’on voit n’est que la partie visible de l’iceberg et dessous il y a des mémoires bien plus profondes. Ça vient appuyer sur des boutons. Le tout c’est de ne pas rester coincé dans cette phase. Tu es un être énergétique illimité. Seulement depuis ta tendre enfance on te bassine que tu es limité, dans un corps physique et que non « on ne peut pas tout avoir », que « l’argent ne tombe pas des arbres », « qu’il faut souffrir pour être belle », qu'il y a plein de raisons d'avoir peur et je ne sais quelle autre connerie encore… Quand tu valides ça intérieurement, tu valides le monde que tu crées. Et après tu te sens victime. Alors que tu as fait un choix. Peut-être un choix inconscient mais si tu es sur un chemin d’évolution, aujourd’hui tu n’as plus d’excuses. Tu peux sortir de ta relation toxique, tu peux quitter ton job pourri, tu peux vivre là où tu as envie, tu peux réaliser tous tes rêves. Non tu n’es pas venu-e ici pour souffrir et valider ce que les autres pensent de toi ou te racontent sur ce que c’est la vie. Tu es ici pour créer ce que tu souhaites et ce qui marche pour toi. L’autre chose importante, et là je parle de ma posture de « mentor », il n’y a que toi qui sais ce qui est juste pour toi. Il n’y a que toi qui sais si tu as besoin d’une séance de yoga, d’un cours de danse ou d’une méditation, ou encore d’un tour à vélo ou de débrancher ton cerveau devant une série télé. Il n’y aussi que toi qui peux décider si tu te juges ou si tu t’encourages et si tu es impacté.e par l’opinion des autres ou pas. Il est important que tu expérimentes et testes les conseils. Peut-être qu’un outil fonctionne à merveille pour quelqu’un d’autre mais pas pour toi, et vice-versa. Peut-être qu’un outil fonctionne bien pour un thème particulier mais pas pour un autre. La seule personne qui peut savoir, c’est toi, en essayant. Ensuite, arrête de vouloir te guérir. Tu es déjà déjà guéri.e. Tu es parfait.e. Tu peux juste amener à la conscience les choses pour les accueillir et en faire quelque chose d’autres que d’en rester victime. Il est donc très important de t’autoriser à tout ressentir, et à rester avec. C’est ça la clé. Tu peux recevoir une séance de Reiki pour enlever un peu de stress et mieux dormir, mais si tu ne vas pas voir la cause du problème, ça reviendra. Tu peux faire une séance de régression de vie antérieure pour connaître l’histoire de ton âme, mais si tu n’en fais rien après, si tu ne choisis pas de changer ton contrat karmique, alors ça ne changera rien. Tu peux te faire aider, soutenir, accompagner, je ne peux que t’encourager à cela, car on va plus vite et on conscientise plus de choses avec quelqu’un qui nous aide à sortir la tête du guidon. MAIS s’il te plait, éloigne toi des gens (y compris les thérapeutes) qui prétendent détenir la vérité, et savoir ce qui est bon pour toi. C’est toi, ton corps, ton âme qui avez les clés. Personne d’autre. Je te donne un exemple très concret : si ton coach ou thérapeute te dit : "Ne va pas voir quelqu’un d’’autre que moi , il ne faut pas mélanger les approches." Je t’invite à te poser avec "toi-m'aime" et à sentir ce qui est juste pour toi. Peut-être que pour toi c’est mieux de faire une approche à la fois, mais peut-être que tu sens que ce serait mieux d’en avoir 2 ou 3… Voici 4 questions que tu peux te poser au quotidien quand ça merdouille : Qu’est-ce que c’est ? Qu’est- que je peux en faire ? Est-ce que je peux le changer ? Si oui, comment je peux le changer ? Si non, comment je peux accepter cela ? S’ouvrir aux vérités des autres, c’est bien. Accepter l’incertitude c’est top. Admettre de ne pas savoir ce qui fonctionne pour autrui c'est la base! Choisir ce qui marche pour soi, depuis soi, c’est encore mieux. C’est ce que je transmets dans tout ce que je propose. Si un thérapeute crée une dépendance avec toi et te demande de revenir revenir, etc. Fuis ! Va-t-en ! Un thérapeute est un être humain, qui peut avoir une longueur d’avance sur toi et t’enseigner des trucs utiles, mais ça reste un humain avec ses blessures, ses mal-être, s’il ne bosse pas sur lui, à un moment ça va se sentir. Et oui j'ai bien conscience que mon texte est bourré d'injonctions! LOL c'est ironique, n'est-ce pas? Peut-être que tu as besoin de remettre ton pouvoir à autrui en ce moment parce que c'est le seul moyen de garder la tête hors de l'eau? Encore une fois , c'est toi qui sais! :-) Ne prends pas pour argent comptant ce que je raconte, teste! Que penses-tu de tout ça ? Et si besoin d'aide pour apprendre à devenir plus autonome et oser être vraiment qui tu as envie d'être, sans limites, viens, on en discute.
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Bonjour!
Cette semaine je te parle de comment ton âme t’amène à sortir de ta zone de confort pour te donner ce dont tu as besoin. On dit bien que la magie se trouve au-delà des peurs ; je le sais je l’ai déjà vécu, et je le prêche ET je sais aussi que ce n’est pas toujours évident. Cela demande du courage. ↪️ Je te raconte ma retraite sauvage et de ma quête de vision, de mon inconfort total et du saut quantique que j’ai vécu. ✅As-tu déjà fait quelque chose parce que ça se présentait sans connaître les enjeux? ✅ Sens-tu ce que ton âme t’appelle à vivre en ce moment? Peux-tu lui faire confiance? ✅ A quels moments oses-tu vraiment sortir de ta zone de confort? 👉🏻 Dis-moi en par email :-) La semaine passée, je suis donc partie en retraite sauvage : j’ai pu expérimenter plein de pratiques qui amènent à un état de conscience modifiée et la connexion à la médecine vibratoire des plantes, de manière très profonde. Pendant toute la durée du stage, une diète uniquement végétale et principalement avec la plante qui t’a choisie pour travailler. Il y avait parfois des pratiques que je trouvais très difficiles, mais j’ai reçu ce message : Fais confiance, tu es invitée à explorer l’inconnu et à profiter de ce qui est offert. Alors j’ai lâché. Et j’ai saisi toutes les opportunités. Après 2 jours de préparation en groupe, me voilà 3 jours et 3 nuits en quête de vision, une immersion seule en nature, sans aucune distraction (même pas un livre... ) Pas le droit de sortir de son petit espace sacré. Présence obligatoire, connexion totale à l’inconfort, pas d’échappatoire, face à soi, avec les éléments et la médecine des plantes qui viennent te montrer tes ombres, te faire bosser à fond. En avril j’ai fait un jeûne, mais je n’avais pas en même temps travaillé sur moi et mes émotions. J’ai « juste » nettoyé mon système. Dans un confort total, avec une belle préparation, ce que je pensais allait être un gros challenge est passé comme une lettre à la poste et m’a fait le plus grand bien. Je ne savais pas que c’était une étape préparatoire à la suite. La semaine passée, j’ai vraiment souffert de la faim. Je m’étais préparée mais le fait est que j’ai une relation compliquée avec la nourriture, qui est très émotionnelle : elle vient me distraire, me réconforter, m’aider à fuir en quelque sorte. Là, pas moyen. La faim faisait partie du jeu. Ce n’était pas agréable. Mais j’ai été poussée et portée par quelque chose de plus grand que moi, l’énergie du cœur, et même dans les moments de doutes, d’énervement, de tristesse, il y avait cette énergie qui disait : ça va aller, ça nettoie bien, quelque chose est en train de s’ouvrir. Honnêtement si j’avais su que cela allait être si dur, que j’allais devoir travailler si profondément mes points de douleurs comme la honte, le manque de confiance en moi dans les relations amoureuses, ou encore les doutes sur quelle suite donner à ma pratique professionnelle, je n’y serai pas allée. Mais je n'ai aucun regret d'avoir vécu cela, bien au contraire! Cette retraite est venue à moi, et cette année je suis dans un état de connexion à mon âme qui fait que je lui fais 100% confiance pour me donner ce dont j’ai besoin, et pas forcément ce dont j’ai envie. Car elle sait mieux que moi. C’est la fameuse intelligence de vie dont je te parlais il y a deux semaines. Et le résultat est là. Je me sens encore plus connectée au monde subtil, encore plus en lien avec la nature et mes capacités de médiumnité, encore plus sur mon chemin. Je ne sais pas encore de quoi la suite sera faite, mais elle se profile magnifiquement. Et toi, où t’emmène ton âme ? Qu'est-ce qu'elle essaie de te montrer? Fais-moi un retour par email pour me dire comment ça se passe! Et si tu as besoin de soutien, réserve ton appel découverte gratuit avec moi pour commencer. Belle semaine à toi! Sylvie ![]() Notre monde a été bouleversé en 2020. Nous l’avons vécu différemment selon notre lieu de résidence, notre situation socio-économique, notre culture, notre éducation, notre rapport à la maladie et à la mort, et donc principalement selon notre vision de nous-mêmes et du monde. Nous avons tous et toutes évolué intérieurement, certains de manière plus consciente que d’autres. Nous nous sommes parfois questionnés sur le sens de nos vies, notre rapport au travail, à la consommation, notre lien à la nature et sur -je l’espère- plein d’autres choses. Certains ont utilisé ce questionnement pour entrer dans une transition personnelle ou professionnelle et redonné du sens à leur vie, d’autres ont au contraire perdu toute notion de sens. Ce qui est certain c’est que nous avons tous et toutes une forme de traumatisme. Le traumatisme n’est pas forcément, comme on a tendance à le croire, un grand choc ; il peut l’être mais il peut aussi être un stress accumulé sur une longue durée. S’il n’est pas accueilli et reconnu correctement, sur tous les niveaux, le traumatisme ne peut pas être libéré et il crée une empreinte dans le corps ; nous risquons alors de réagir à des petites situations de stress de manière exacerbée. Nous rentrons peu à peu dans un cercle vicieux et plus nous restons dedans, plus il est difficile d’en sortir. Nous sommes de plus en plus fatigués, irritables, anxieux, voire désespérés ; nous avons du mal à trouver de la joie et du plaisir et à avancer. Il est donc primordial aujourd’hui de reconnaître l’ampleur du traumatisme et d’y apporter de la compassion et de l’amour. Cultiver la joie devient aussi une véritable discipline pour rester sain. Prendre soin de soi n’est plus une option, c’est une nécessité. Bien entendu, nous avons des choix à faire, des décisions à prendre pour la suite. J’ai une grande nouvelle : dans cette situation, il n’y a pas de bon ou de mauvais choix. Il y a juste le choix qui est juste pour soi, dans cette expérience humaine, pour son âme. Elle vivra ce qu’elle est venue vivre ; oui le choix que nous ferons aura des conséquences, qui nous feront vivre une expérience, et que nous devrons assumer. L’avenir n’est pas tracé, c’est à nous de le construire avec notre libre-arbitre. Au milieu de la confusion générale, nous pouvons constater depuis des mois une énergie destructrice : une agressivité ambiante, des jeux de polarisation extrême, qui nous font croire que tout est soit noir soit blanc, soit bien soit mal, qu’il y aurait des gens qui ont raison et des gens qui ont tort. Ces discussions sont soit évitées, soit exacerbées, sur les réseaux sociaux, mais aussi avec nos amis, notre famille. Nos mécanismes de défense font souvent que les discussions tournent à la colère ou à l’incompréhension. Pour moi le seul véritable choix à faire c’est de s’élever pour sortir de ça : arrêtons de jouer le jeu de la division et de la guerre qui se joue et rejoue depuis la nuit des temps, sous différentes formes. Oui, je sais, ce n’est pas évident. Moi-même je tombe parfois dans le jeu de l’opposition. C’est un travail de fond de conscientiser cela pour déjouer ce programme. Nous ne pouvons que choisir pour nous-mêmes, et laisser les autres faire la même chose, en respectant leur chemin, même si nous ne le comprenons pas ou ne sommes pas d’accord. Même en étant très empathique, nous ne pouvons pas savoir exactement comment l’autre a vécu son parcours jusqu’ici, ses émotions, ses batailles, ses pensées, ses peines, ses croyances qui font de lui qui il est. Il n’y a que lui qui sait, de la même manière qu’il n’y a que toi qui sais ce que toi tu as vécu et ce en quoi tu crois. Tomber dans le panneau qui vise à traiter l’autre de peureux, de mouton, de manipulateur, ou de complotiste, d’irresponsable, de criminel ne fait pas avancer les choses. Dire aux autres ce qu’ils doivent faire ne fait pas avancer les choses. La seule chose que l’on puisse faire c’est s’écouter et écouter l’autre, en le laissant être ce qu’il est et en l’invitant à nous traiter de la même manière. Prenons comme exemple le vaccin : que tu aies choisi ou non de te faire vacciner, ou que tu n’aies pas encore décidé, c’est complètement ok. Tu as fait ou feras ce choix en fonction de ton chemin de vie, ta vision du monde, de tes lectures, de la santé, de la maladie, de la mort, et de tes circonstances personnelles. C’est ton droit. Ce qui est important de se poser comme question pour ça ou pour les prochaines décisions c’est : Est-ce que je fais ce choix librement et en conscience, et est-ce que j’assume mon choix, au-delà du regard des autres, au-delà de la peur d’être jugé ou critiqué ? Et est-ce que je peux inviter les autres à faire de même ? Si je commence à dire à l’autre quoi faire, je le prive de son droit à l’auto-détermination. Inverse les rôles deux secondes et mets-toi à sa place. Si à toi on te disait ce que tu dois faire, pour ça ou autre chose, comment te sentirais-tu ? Alors oui tu vas peut-être me répondre qu’il y a des gens qui préfèrent qu’on leur dise quoi faire, qui préfèrent remettre la responsabilité à autrui. C’est ok, encore une fois, c’est leur chemin. Laissons-les être et vivons le nôtre. Nous ne pouvons pas imposer notre vision du monde, nous ne pouvons que la partager, et inviter l’autre à la respecter même s’il ne peut pas la comprendre. Elevons-nous, choisissons la compassion pour nous-mêmes et la compassion pour les autres. Si tu ne sais pas comment amener la compassion dans ta vie, d’abord pour toi-même, c'est le thème de la dernière pratique guidée en ligne ici Abonne-toi à ma newsletter pour suivre toutes les infos. 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AuTEURJe laisse ici mes pensées, ce qui me traverse. L'écriture me permet d'accueillir et de libérer ce qui je sens en moi et autour de moi. Si dans le processus, cela peut aider autrui, c'est encore mieux :-) Archives
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