Aujourd’hui je te parle de colère, d’acceptation, de prière et d'ouverture du coeur. Un cadeau au bas de cet article

​A noter:
Les lignes qui suivent sont le fruit de ma vision,  de mon expérience. Je ne prétends aucunement détenir la vérité; au contraire, plus j'avance dans cette vie et moins j'ai l'impression de savoir quoi que ce soit. Il y a énormément de perspectives, on ne peut pas tout voir à la fois, c'est bien pour ça que les prises de conscience arrivent par couches.
 Cependant, je sais que ma vision peut en partie résonner chez quelqu'un et c'est pour ça que je la partage. A mes yeux aujourd'hui c'est le manque de lien qui gangrène notre monde, le masque des apparences et la non-authenticié de nos échanges... Alors je pose ma voix, j'espère que tu oseras poser la tienne aussi :-)


La colère
La colère est une émotion tabou parce qu’elle est souvent confondue avec l’agressivité. C’est très probablement celle sur laquelle on a le plus de jugements et de peurs.
La colère mal canalisée et dirigée peut en effet se transformer en violence verbale ou physique dans le but d’obtenir ce que l’on souhaite.
Pourtant, nous n’avons pas besoin d’aller jusque-là.
Nous pouvons en fait l’utiliser pour retrouver notre chemin, nous reconnecter à nos besoins. Cela veut dire reconnaître et exprimer quand quelque chose ne nous convient pas, ne pas attendre que ça déborde, se respecter et se faire respecter.

Depuis petite je suis en colère...
Je crois même que je suis née en colère, hahah. Il y a une étude qui dit que les enfants nés par césarienne sont privés du choix du moment de leur naissance, le premier choix de vie, et qu’il peut y a voir un lien avec cette  colère... intéressant?… en tout cas moi ça me parle un peu.
Parfois je me rends compte que je suis en colère, parfois cela fait tellement partie de moi que je n’en ai même plus conscience.
Parfois cette colère me sert de feu motivateur et parfois elle me sabote et me prend toute mon énergie, ou/et enflamme mon corps. En ce moment, soyons clair, elle me tue à petit feu... 

 La question est donc: que faire avec cette colère? 
Pour moi, nous sommes la Conscience qui expérimente et cherche à incarner la lumière, l’énergie de l’Amour dans la densité matérielle, en explorant toutes ses formes possibles. Cela inclut son opposé car nous sommes dans un monde de dualités. Les opposés de l’amour comme la haine, le jugement, l’intolérance, la violence et ne sais-je quoi d’autre encore, sont là pour nous apprendre des choses. La colère nous invite à reconnecter à nos besoins, nos valeurs, ce qui est important pour nous.

Le feu de la colère est donc le feu de l’amour : se défendre, défendre ce qui important pour nous, défendre les autres…. Mettre ses limites, savoir dire non est un acte d’amour. Il suffit de penser à la lionne qui défend ses petits…

D'abord constater, voir cette colère :
Aujourd’hui je constate que je suis en colère à plusieurs niveaux.
-D'abord, il y a la colère contre l’état du monde. En 2025, depuis le temps qu’on bosse sur nous, qu’on déconstruit, qu’on conscientise, qu’on « guérit » , à quand la fameuse bascule vers le mieux, la paix, l’harmonie, la paix ? Il y a une perte de sens chez moi, mais pas que... je le vois chez tellement de gens. 
-Je suis en colère contre certaines  personnes, que je ne comprends pas, qui ne me comprennent pas, que je juge et qui me jugent. Un beau miroir! 
-Et bien sûr, je suis en colère contre moi-même, je m'en veux de ne pas réussir à vivre sereinement, à être toujours et encore enfermée dans des schémas de merde, je m'en veux d'être une éponge, d'être pas assez ceci, trop cela, etc.


Ensuite ressentir pleinement et accepter, ou essayer d'accepter :-)
Ben oui j'ai le droit d'être en colère! J'accepte que je suis en colère! Je la ressens, je la vois, je lui donne une forme, une couleur, un bruit, une odeur, je vois le mal qu'elle me fait. Ce sentiment profond d'injustice... Je découvre derrière la colère une grande tristesse. Mon coeur s'entrouve.
J'accepte que le monde va mal...et en même temps mon âme me susurre... que je suis bombardée d'infos négatives, et qu'il y a aussi plein de belles choses, de beaux projets, de belles personnes qui oeuvrent au changement positif et je garde espoir. Je me reconnecte à la foi. Mon coeur s'ouvre un peu plus.
Par rapport aux gens qui m'énervent, mon âme me dit aussi que j'ai des choses à apprendre à travers ces miroirs. Qu'est-ce qui me dérange chez eux qui existe aussi chez moi? Comment puis-je les accepter pour ce qu'ils sont et baisser mon niveau d'exigence, me reconnecter à la compassion. Accepter leur humanité et la mienne. Mon coeur s'ouvre un peu plus.
La colère comme toute émotion est une invitation au mouvement (E-Motion)

Qu'est-ce que j'en fais?
Je respire, je souffle, je me détache un peu.
Puis elle revient....
Je recommence, j'amène un flux de douceur sur ces inflammations.
et puis je prie...

Je demande à l'Univers de m'aider à voir ma colère, mes jugements, où, quand, comment, qui... et de m'aider à les sublimer, à les accepter, m'en détacher et/ou à les transformer pour mon plus grand bien et celui du monde. Mon coeur s'ouvre encore un peu.


Je n’ai pas de solution miracle, à part l’acception et la prière.
Mais peut-être que la prière est justement miraculeuse, car quand on demande on reçoit, pas toujours de la manière attendue, formatée, voulue. Mais c’est d’une beauté impressionnante. Une rencontre, un livre, une réponse...
Et toi, comment te sens-tu?
Utilises-tu la prière? 
Dis-moi !


En cadeau je t'offre la pratique "colère et ouverture du coeur".
Cela te paraît étrange que la colère puisse permettre d'ouvrir son coeur? Teste la pratique et fais-moi un retour!


Belle semaine
Sylvie

Coucou,
aujourd'hui je voulais te parler de nos corps physiques et de l'impact de notre transition planétaire et des énergies électriques que nous recevons depuis quelques années.

Je vois chez moi et beaucoup de monde autour de moi (peut-être que chez toi aussi), des symptômes physiques qui ne trouvent aucune cause, des analyses sanguines qui ne montrent rien et pourtant des douleurs, des inflammations, des dérèglements hormonaux et d'autres maux... C'est comme si notre corps faisait peau neuve, et ce n'est pas agréable. 

On dit souvent depuis des années, que c'est important de déconstruire, déprogrammer, désapprendre... Je crois que cela s'applique aussi pour la médecine qu'elle soit allopathique ou alternative. 

Je n'ai jamais rejetée la médecine allopathique, mais je n'ai jamais tout pris pour argent comptant non plus. Elle sert à plein de choses magnifiques mais elle va parfois trop loin et traite toujours plus les symptômes que les causes.
La médecine vibratoire, énergétique, holistique m'a toujours plus parlé, mais aujourd'hui je vois ses limites également. Car nous sommes humains et nous avons tendance à nous enfermer dans des dogmes: même être anti-dogme, c'est un dogme... 

Ma remise en question, depuis plus d'une année, mon arrêt sur image, mon épuisement et mes douleurs... font pour moi partie de ce processus d'évolution individuelle et collective de déconstruction. et aussi l'impression que ce que j'ai enseigné pendant des années (même avec une évolution) n'est plus adapté, sauf les canalisations et soins quantiques, qui après réécoute, semble trouver un autre sens, un autre niveau de conscience, une nouvelle perspective.

Je l'ai même transmis , à plusieurs personnes que j'ai accompagnées: "patience, patience, le moment n'est pas encore venu, nous sommes là pour proposer quelque chose qui n'existe pas encore, qui est en gestation intérieure, ça prend du temps, on n'y comprend rien, mais un jour, cela aura tout son sens."

Dans tous les cas, nos corps souffrent, et pour ma part ce sont des douleurs au niveau des fascias, des tensions dans la tête, des crampes d'estomac, et des moments d'épuisement total, qui me font parfois penser que je ferais mieux de m'en aller, que je n'en peux plus, que je ne sers à rien, etc.

Et puis il y a cette voix, qui me dit que je suis une antenne, que je vis ce que la Terre vit, que je traverse les courants électriques et que j'épure avec elle, juste par ma présence, ce qu'il y a à épurer, et qu'il n'y pas forcément grand chose d'autre à faire, que d'être et d'accepter.

Accepter cette douleur, les tensions permanentes, mon incapacité à me détendre, mes crises d'angoisse qui sont revenues, l'impression de faire un saut de 15 ans en arrière... 

Dur dur pour mon égo, dur dur dans ce monde de productivité. 
Dur dur aussi pour mes pratiques habituelles, seule la méditation semble encore fonctionner, car il s'agit vraiment de tourner le regard à l'intérieur et d'écouter.
Prendre soin de son corps c'est avant tout ça, l'écouter. 

De quoi a-t-il besoin? Cela parait une banalité quand on travaille sur soi depuis des années mais... il nous appartient de sortir des paradigmes qui répondraient : un cours de yoga,  de la muscu, une rando, des compléments alimentaires, ou je ne sais quoi encore... 

Cela veut dire s'écouter soi, d'abord, et encore, pas les conseils de l'extérieur, pas les croyances nutritives, sportives, ou autres injonctions. Revenir à soi, une mise à zéro, écouter la voix intérieure et peut-être faire quelque chose de complètement différent d'avant, peut-être même ne rien faire? 

Vraiment pas facile et en même temps si simple...
Et surtout savoir faire preuve de beaucoup beaucoup d'humilité devant cette chose énormissime que nous traversons et que le mental ne peut pas comprendre.

Je recule pour mieux sauter, je tente d'accepter que je suis dans une phase de préparation importante et je choisis de garder la foi.

Dis-moi dans tous les cas comment tu vas toi?
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Si tu sens le besoin de soutien, tu trouves ici la liste des soins quantiques par thème, tu peux en choisir un, deux ou plus selon ton intuition.
Des gros becs
Sylvie