 La mission de vie :
qu'est-ce que c'est et... est-ce que c'est nécessaire? Comme tu le sais peut-être j'aime déconstruire, remettre en question. Nous sommes des êtres programmés, conditionnés et le travail de la conscience permet de nous reconnecter à l'infini des possibles du champ quantique pour sortir des programmations limitantes. Alors aujourd'hui je te parle de mission de vie. D'un côté il y a des gens qui ne se posent pas trop de questions, voire aucune sur leur "mission"; ils sont comme ça soit car ils n'en ressentent pas (encore) le besoin, soit parce que derrière les questions il y a une peur de regarder les ombres et qu'on le sait, beaucoup d'humains préfèrent être malheureux dans la zone connue que d'explorer l'inconnu. Il y a une majorité de gens encore aujourd'hui qui travaille dans un emploi qu'ils n'aiment pas, et même s'ils y passent une grande partie de leur temps, vivent en attendant le week-end et leurs vacances. Peut-être qu'ils y trouvent un compromis qui leur convient. C'est ok :) Je suis toutefois ravie de voir que parmi les plus jeunes qui entrent sur le marché du travail il y a une demande de bonnes conditions de travail, d'équilibre du temps entre la vie pro et perso, etc. MERCI! Il y a aussi toutes les programmations qu'on nous balance sur les manières de penser alternatives. On nous lave le cerveau et on nous traite de complotiste dès qu'on explore quelque chose de différent. Donc certains préfèrent - et je le comprends- rentrer dans le moule, baisser la tête et obéir, même si c'est pour être un esclave moderne et aller droit dans le mur. Chacun ses choix; l'avantage de ces choix c'est que ça nous permet de voir plein de problèmes. Il faut bien que quelqu'un les vive :-) Une grande partie de notre humanité travaille dans des entreprises qui créent des choses dont personne n'a réellement besoin et qui sont totalement inutiles, qui nous poussent juste à continuer à passer à côté de l'essentiel. Et heureusement on a eu l'intelligence de créer des agences de communication, la télé et le marketing, d'acheter les médias pour nous convaincre que ces choses et ses manières de vivre sont pour notre bien! No comment... Et puis il y a une minorité - dont je fais partie- qui se pose beaucoup de questions: (peut-être trop? :-) Pourquoi suis-je ici ? Quel est le sens de ma vie ? Qu’est-ce que je suis censée faire ? Qu'est-ce que je suis venue incarner? Comme moi peut-être tu te poses peut-être la question de ton existence depuis ton enfance ? Pour moi on change le monde en se posant ces questions justement! A quoi ça sert tout ça? Est-ce que je contribue de manière positive au monde ou est-ce que j'ajoute de la merde? Est-ce que j'amène l'énergie du coeur ou est-ce que je nourris un un système pourri qui continue de générer mal-être et malheur? Et bien sûr, ce n'est pas noir et blanc... Même avec la meilleure intention du monde on peut créer de la pourriture et se tromper. Restons donc vigilants et dans la compassion! D'autres conditionnements et programmations sont arrivés depuis quelques années avec le développement personnel et la spiritualité new age. Aie j'y ai sûrement participé aussi. Cela n'empêche pas d'évoluer et de continuer de remettre en questions ce que j'ai appris. Et je t'invite à faire de même! Toujours questionner. Aujourd'hui je ne crois pas à la mission de vie telle qu'on nous la vend dans les grandes lignes dans le développement personnel ou dans la spiritualité. Oui ton âme est là pour apprendre et offrir des choses, mais ce n'est pas linéaire et il n'y a pas UNE seule manière de l'incarner... L'appel de l'âme c'est une écoute de chaque jour, et c'est surtout ce qui te met de la joie dans le coeur. Ensuite l'âme est basée sur l'énergie et l'être, la présence, pas sur le faire. Elle est énergie et suit un flow qui n'est pas compréhensible par le mental, et les cases de notre système. Ce n'est donc pas ce que tu fais qui importe mais comment tu le fais, et comment (ta vibration, ton intention) tu es quand tu le fais. J’ai d'ailleurs commencé à relire le livre de Dolores Cannon, les 3 vagues de volontaires. Le connais-tu ? En résumé Dolores a fait des milliers de séances de régressions de vie antérieures avec des patients et a pu en tirer des conclusions sur les âmes qui viennent s’incarner sur Terre. Ces volontaires pour aider la Terre se posent toujours la question : « quelle est ma mission ? comment puis-je l’incarner ? que dois-je faire ? » et la réponse est toujours la même : "être dans la lumière, ta présence et ton énergie sont l’essentiel, ce que tu fais n’est pas important, c’est ce que tu es qui importe." Et donc si tu as cherché ou tu cherches encore à donner du sens, à agir pour le monde, c’est très bien. Et je suis une fan de l’activisme qui vient du cœur. Si tu sens que tu as un rôle à prendre, un projet à mener et que ça te passionne, ça te motive, ça te tire vers le haut, ça te met en joie, alors bien sûr, fonce. Mais ne te mets pas trop la pression… pense aussi à te reposer, et pas forcément à tout faire juste, parfaitement, etc. Surtout lâche le contrôle et le désir de réussir, de tout savoir ou de maîtriser, car c'est ça vient de l'égo, pas de l'âme. Le concept de succès est à remettre en question aussi! Ton succès n'est pas ton travail, ton succès c'est comment tu te traites et comment tu traites les autres, humains, animaux, la planète. Et si tu n’as pas encore trouvé ou a trouvé plein de choses différentes et que tu changes souvent d’avis, lâche-toi la grappe… Fais de ton mieux pour être un humain décent, gentil, dans la compassion. Que tu sois chauffeur de taxi, coiffeur, jardinier, chef d’entreprise, informaticien, thérapeute, au final, vraiment l’important c’est ton essence, l’énergie que ta présence dégage. Tu changes le monde en accueillant les nouvelles fréquences, en travaillant sur toi et en questionnant. Alors merci! et bravo! c'est courageux Fais confiance, que comme les arbres, nous sommes tous uniques et importants. Il y a un temps pour méditer, se retirer, écouter la voix de l'âme et un temps pour aller à l'extérieur et agir. Parfois les deux cohabitent dans la même journée, parfois la non-action dure des mois et l'action vient ensuite. Il n'y a pas de règle. C'est à toi de sentir, et de choisir en fonction de toi, mais certainement pas en fonction de règles sociétales externes ou que tu as tellement intériorisées que tu ne te rends même pas compte de ce à quoi tu obéis! Voici deux sources d’inspiration et de réflexion que j'ai vu sur les réseaux la semaine passée qui m’ont touchée, je te cite les phrases : 1) J’ai dit à mon psy que je ‘était triste parce que je n’arrivais pas à décider ce que je voulais dans la vie et il a répondu : "peut être que c’est ça être toi : une personne qui crée constamment sa vie, qui aime expérimenter de nouvelles choses et fais ce qui a envie, c’est plutôt beau.." 2) Ta mission n’est pas ce que tu fais mais ce qui se passe chez les autres quand tu fais ce que tu fais.. A méditer, à déconstruire Qu'en penses-tu? As-tu une mission de vie ou la cherches-tu? Aimerais-tu plutôt explorer l'abandon à l'appel de ton âme, la confiance et la foi et sa guidance quotidienne, te laisser porter et voir la magie qu'elle déploie? Prends contact avec moi! Belle semaine Sylvie
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 Tous les maux, individuels et collectifs viennent d'un manque d'amour!
Oui c'est si simple... Et pourtant nous sommes toujours tous en manque d'amour quelque part, même si on travaille ça depuis longtemps, il y a des couches et des couches, des domaines où ça va mieux que d'autres et d'autres où ça coince encore. Ce manque d'amour dirige nos pensées, nos émotions, notre vision du monde et donc nos comportements. Quelques exemples au niveau individuel: Peur de dire ta vérité? Manque d'amour Enchaînement de relations toxiques? Manque d'amour Perte de sens? Manque d'amour Manque de confiance? Manque d'amour Burn-out? Manque d'amour Hypothyroïdie? Manque d'amour Problèmes financiers? Manque d'amour Tu peux prendre tes maux à toi, tu verras, derrière ce que tu perçois, c'est toujours le manque d'amour qui crée ça, il peut être plus ou moins conscient. Même une personne avec la plus belle intention du monde, qui sème de belles choses, fait souvent ce qu'elle fait pour se sentir aimée... Je te donne un exemple personnel: Cela fait quelques années que j'ai de très forts maux de tête, une à deux fois par mois à la limite de la migraine. Cela semble hormonal mais il y a d'autres critères qui influencent leurs apparitions. J'ai observé et pris des notes pour voir s'il y avait une cause commune: quand ils arrivent, le temps qu'ils durent, leur intensité, mais aussi où je me trouve, l'environnement, l'altitude, le climat, la météo, comment je m'alimente, avec qui je suis, quelles sont les émotions que je traverse, le niveau de stress, etc. J'ai essayé de chercher des solutions naturelles, j'ai changé des choses au fur et à mesure de mes conclusions, mais j'ai surtout j'ai observé que c'est quand je ne suis pas 100% alignée qu'ils sont plus forts. Pendant mes 4 mois en Inde, je n'en ai pas eus, sauf 2 semaines avant mon retour quand je commençais à me poser des questions sur l'intégration de tout ce que j'avais appris, l'influence que cela allait avoir dans le domaine professionnel et dans mes relations avec mes proches... J'ai découvert il y a peu de temps qu'une des symboliques de la migraine c'est de ne pas arriver à être soi-même. Et cela me parle totalement, quand je m'affirme, que je suis dans la joie, dans la fluidité, je m'occupe de mes émotions difficiles, je leur donne de la place, les valide et m'en sers pour m'aligner, l'énergie dans mon corps est fluide et je n'ai pas de migraine de tous le mois. Mais en effet, s'il y a une personne ou une situation avec qui c'est tendu où je n'arrive pas à être complètement moi, PAF!: mal de tête, au moment de l'ovulation ou/et des règles. Donc oui le terrain est hormonal mais la cause est le blocage de l'énergie. Je suis dans ma tête, pas dans mon coeur. Je n'ose pas dire les choses. A cause de...? je te le donne dans le mille: une énième couche de manque d'amour de moi, peur d'être rejetée, abandonnée, incomprise, etc. Et toi? Que provoque ton manque d'amour de toi? Alors on a le choix: laisser ça être comme c'est, avec toutes les conséquences que ça a pour nous et la société, ou travailler ça et choisir d'avancer, de s'aider et d'aider le monde. Car ne sous-estime pas que ce manque d'amour au niveau collectif est aussi à la base de: -la maltraitance des femmes -les réseaux de pédocriminaliité -la destruction de la planète -les jeux de pouvoir, les guerre et tous les autres maux... A nous d'agir, et c'est maintenant. Quoi de mieux que de se relier à son âme et à l'énergie de la mère universelle pour aller nourrir l'amour en soi, faire le plein et agir le plus souvent à partir de cet être rempli d'amour que nous sommes déjà, que nous pouvons redevenir. C'est ce que je te propose en ce moment :-)  Aujourd'hui j'aimerais te parler du stress et de la peur ambiante en Europe. Je suis revenue d’Inde depuis presque 2 semaines et je me sens complètement stressée alors que ma routine est la même que là-bas et que je loge actuellement à la campagne dans un lieu idyllique, en lisière de forêt, avec 3 chats… Je ne regarde pas la télé et je suis de loin les nouvelles. Je suis entourée de gens que j’aime et qui m’aiment. Et pourtant je me sens très stressée, voire angoissée. J’ai une boule au ventre depuis le chakra sacré jusqu'au plexus. Elle va et vient selon comment je m'écoute et je me positionne. Au début j’ai pensé que c’était la réadaptation alimentaire. Ce qui est assez ironique c'est que quand tu pars en Inde, on te dit que tu vas forcément avoir des problèmes intestinaux, qu'il faut partir avec ton immodium ou ton huile essentielle d’origan. J’ai des intestins fragilisés depuis longtemps par un syndrome du côlon irritable diagnostiqué en 2008 quand j'avais fait mon gros burn-out… et pourtant… En Inde je n’ai pas vraiment été malade. Les très rares fois où j’ai eu des soucis, j’ai pu identifié la cause et elle était purement alimentaire, je l’ai senti dans mon corps: un jus de fruits pris dans la rue avec des glaçons, une crudité qui ne passait pas. Cela a duré quelques heures et mon système s’est vite rééquilibré. Mais depuis que je suis rentrée en Europe, je sens que ces soucis de digestions ne sont pas liés à mon alimentation. C'est la digestion émotionnelle ne se fait pas. Je le sais, je le sens. Alors oui faire attention à son alimentation c’est super: veiller à manger équilibrer, ne pas rajouter des aliments inflammatoires à ses repas, etc. MAIS… soyons clairs, si tu as le même profil ultra sensible et anxieux que moi, c’est surtout tes émotions qu’il est important de soutenir. Et encore une fois, si tu es comme moi, ces émotions ne sont pas forcément les tiennes. En effet, même si c'est évidement compliqué de revenir en Suisse après 4 mois ailleurs, qu'il y a une multitude d'émotions mélangées, il y a ce qui m'appartient mais il y a surtout ce stress ambiant. Je l'ai senti dans l'air et chez les proches que j'ai revus. Je sais, j'entends et j'accepte maintenant que je suis une des éponges du collectif. Peut-être que toi aussi? Ce n'est pas par hasard. Ce n'est pas une tare... Je sais que je suis là pour nettoyer, transmuter etc. En Inde j'ai surtout nettoyé des lieux en lien avec des traumatismes passés et aider des âmes errantes. En Suisse, je nettoie les énergies du présent. Ne nous étonnons pas qu’il y ait un tel engouement pour les pratiques de bien-être, qu'on doive prendre soin de soi, avoir des cours de relaxation, de respiration, se faire masser etc. dans un collectif qui est autant connecté à la peur… Je n'avais jamais réalisé à quel point nous sommes là-dedans avant de partir en Inde. La peur est partout… dans les discours des médias mais aussi dans nos pensées quotidiennes. Tout le monde ici est stressé, que les gens en aient conscience ou pas. Plein de personnes qui courent tout le temps: soient elles digèrent mal, soient ells ont mal au dos ou à la hanche et elles mettent ça sur le compte de l'âge, d'un problème purement physiologique... Mais tout ça trouve sa base dans l'émotionnel, dans la fréquence de la peur... et ensemble forme un égrégore. Le travail de confiance en la vie est bien plus un challenge ici en Europe qu’en Inde, où pourtant les difficultés de beaucoup d’entre eux pourraient vite mettre dans la peur aussi. Mais ce type de peur-là je ne l’ai pas ressenti. Jamais - nulle part, ni dans les grandes foules, dans les grandes villes, ni avec les gens très pauvres des petits villages. Je n'ai jamais eu de souci dans les foules pour aller au temple en Inde alors qu'ici la foule m'angoisse. Chaque individu connecte à une énergie, et la somme de ces individus créent l'égrégore dominant. Ici c'est la peur. Là-bas c'est la foi. J'ai nettoyé des mémoires de guerres, de tsunami, etc, tout des choses du passé. Dans le présent j'ai senti des gens au coeur ouvert et dans la foi.  Comment l’expliquer? Je n’ai pas toutes les réponses mais voici quelques pistes:
- les pratiques spirituelles sont omniprésentes en Inde, ils respectent toutes les religions et croyances et leurs différences, mais ils croient tous en quelque chose, ils ont tous des rituels et le lien au sacré est omniprésent. En Europe nous nous sommes déconnectés du sacré, du divin, de la foi en quelque chose de plus grand. La grande masse croit en l'argent et en les politiciens.. encore? malgré tout le mal qui est fait? Et nous sommes conditionnés, manipulés et dans l’inconscient collectif, coincés quelque part. - en Inde la solidarité fait partie de la vie; l'intérêt du collectif passe avant l'intérêt de l'individu. Les commerçants ne sont pas en compétition, ils se passent les clients; les gens s'entraident sans arrêt. En Europe nous sommes obnubilés par notre propre personne. Nous pouvons avoir 500 amis sur Facebook mais nous sentir très seul à la maison. Ni mieux ni moins bien, l'Inde est loin d'être que lumière évidemment! Mais il y a certainement quelque chose au milieu, un équilibre.... réunir les forces des deux continents. Je ne dis pas qu'il faut adopter une religion... Pour moi il y a beaucoup de malentendus dans les religions avec des interprétations dogmatiques et celles-ci ont fait et font encore beaucoup de mal. Mais si tout n'est pas à adopter, tout n'est pas non plus à jeter. La foi et le lien au sacré en font partie. Idem pour l'individuel et le collectif, il y a aussi un juste milieu à trouver. si je cherche à transformer mes limitations, mes croyances saboteuses, mes blessures, je le fais pour moi ET pour les autres. Sinon cela n'a aucun sens. Nous avons besoin de nous remettre au service de et de continuer à déconstruire ce système. Alors à nous de sortir du jeu. Là où on peut, chacun-e comme un colibri… ..Je ne dis pas que moi-même je ne me fais pas happée par ce stress parfois, et j'y contribue aussi. Mais ma foi est inébranlable, c'est ce que l'Inde m'a apporté, entre autres, mais oui j'admets c'est un défi de naviguer le quotidien en Europe, dans un monde de zombies déconnectés... C'est là que la conscience et l'observation sont primordiaux. Dis-moi ce que tu en penses en commentaire! Y a du boulot... Tu m'aides? Si tu as besoin de soutien, c'est par ici |
AuTEURJe laisse ici mes pensées, ce qui me traverse. L'écriture me permet d'accueillir et de libérer ce qui je sens en moi et autour de moi. Si dans le processus, cela peut aider autrui, c'est encore mieux :-) Archives
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